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14 novembre 2016 1 14 /11 /novembre /2016 08:30

 

« Si Cervantes est l’écrivain dont je me sens le plus proche, cela tient à sa qualité de précurseur de toutes les aventures : si sa familiarité avec la vie musulmane donne à son œuvre une indéniable dimension mudéjar (nom donné aux musulmans d’Espagne devenus sujets des royaumes chrétiens après le XIe siècle, pendant la période de tolérance), l’invention romanesque, à travers laquelle il assume la totalité de ses expériences et de ses rêves, fait de lui le meilleur exemple de l’attitude illustrée par le dicton : humani nihil a me alienum puto.

 

Trois siècles et demi plus tard, les romanciers font encore du “cervantisme” sans le savoir : en composant nos œuvres, nous écrivons à partir de Cervantes et pour Cervantes ; en écrivant sur Cervantes, nous écrivons sur nous-mêmes, que sa ferveur islamique nous soit étrangère ou familière. Cervantes reste le point vers lequel toujours convergeront nos regards. »

 

Juan Goytisolo, extrait de « Vicissitudes du mudéjarisme »,in Chroniques sarrasines, Paris, Fayard, 1985.

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 15:11
La Fontaine de Sidi-Hassan en librairie
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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:27
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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 22:00
34 ans déjà, le 2 juin 1978 nous quittait, pour un monde meilleur, Malek Haddad, une pieuse pensée est demandée à sa mémoire.

MALEK-HADDAD.jpg  

Et ton sourire, dans tes mots, reviendra à chaque livre, nous dire la vie.

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28 décembre 2010 2 28 /12 /décembre /2010 22:11

 

REDHA-HOUHOU-Benzelikha.jpg

 

Ahmed Rédha Houhou, père du roman algérien en langue arabe, écrivain à la verve satirique, pleinement engagé dans le combat pour l'émancipation de sa société et la liberté de son peuple, intellectuel bilingue, d'une formation singulière, tant à l'école de Jules Ferry, qu'à l'Ecole des sciences légales de Médine d'Ahmed Fayed Abadi.

 

Natif de Sidi Okba, il vit le jour en 1911 dans cette belle palmeraie où repose l'apôtre de l'Islam maghrébin, Okba Ibn Nafaâ, qui porta haut l'étendard de Dieu, jusqu'aux bords de l'Atlantique.

 

D'un milieu aisé, il eut une enfance heureuse et put poursuivre ses études jusqu'au certificat d'études qui lui ouvrit les portes de l'administration des postes.

 

Peut-être que Houhou, aurait pu mener la tranquille existence d'un employé des postes, dans une sous-préfecture coloniale. Mais il était écrit qu'un tournant allait donner à sa vie un tout autre sens.

 

En effet, sa famille décida de s'établir à... Médine. L'antique Yathrib fut, bien sûr, à la hauteur de sa prestigieuse hospitalité. C'est là où le jeune algérien eut à fréquenter l'Ecole des sciences légales de Médine, où il obtint les diplômes nécessaires pour y exercer les fonctions d'enseignant, aux côtés de noms illustres du charaâ et du fiqh.

 

Un tel apanage était rare pour un Maghrébin des années 1930 et n'en souligne que plus le mérite de Houhou. Houhou qui, démentant le stéréotype du « faqih » sombre et revêche qui, plus tard, fera florès, signe de nombreux articles dans la presse locale, à l'instar d'El Menhel ou Saout El Hidjaz, qu'il contribue à enrichir grâce à sa connaissance de la culture française.

 

Ne s'arrêtant pas en si bon chemin, il poursuit l'aventure des mots en écrivant plusieurs nouvelles, renouvelant ainsi le genre narratif arabe. Il s'inscrit en cela comme l'un des précurseurs de la littérature romanesque arabe, affirmant ses idées novatrices dans un article critique demeuré célèbre, intitulé « La littérature arabe va-t-elle à l'extinction ? ».

 

Sa contribution et sa renommée furent telles, qu'on le surnomma « le pionnier du récit en Arabie », allant jusqu'à le faire figurer jusqu'à aujourd'hui comme écrivain saoudien, dans l'Encyclopédie de la littérature saoudienne.


Peut-être que Houhou aurait pu mener la confortable existence d'un « adib » saoudien bien établi et vivre longtemps entouré de soins et d'attention.Mais il était écrit, qu'Algérien, il ne pouvait que répondre à l'appel de celle-ci, au lendemain des massacres du 8 Mai 1945, Ahmed Rédha Houhou revient au pays et s'établit à Constantine.

   

Constantine, où l'Association des uléma, présidée par cette vive intelligence que fut El Ibrahimi, lui ouvrit naturellement ses portes. Comment pouvait-il en être autrement à la confluence de l'héritage de lutte pour l'émancipation sociale et le renouveau religieux, laissés en legs par Ibn Badis ? Ahmed Rédha Houhou sera enseignant, administrateur et militant infatigable de la cause algérienne, de la cause du peuple et de celle de la femme, dont il n'aura de cesse de dénoncer la double oppression coloniale et sociale.

 

Faut-il rappeler ce Constantine des années 1940 ? Creuset du mouvement national aux repères désormais marqués, s'inscrivant dans un espace communautaire, celui de la cité, dans un axe temporel, celui du progrès dans une idéologie nationaliste et dans une rupture, celle de la violence du 8 Mai 1945.

 

Sitôt retourné au pays, Houhou s'illustre, en aîné des Benhadouga et Ouettar, en publiant le premier roman algérien en langue arabe Ghadat de la Mère des cités , en 1947. Adepte de la forme théâtrale, dont le succès et la portée dans la société algérienne d'alors ne lui échappe point, il fonde en 1949, la troupe théâtrale El Mazher constantinois avec laquelle il montera plusieurs pièces démontrant son talent de dramaturge proche de son peuple.

 

D'un engagement passionné, il signe article sur article dans l'organe de l'Association des uléma El Baçair, dans sa deuxième collection. Si l'écriture romanesque de Houhou se limita à une seule tentative, il n'en fut pas de même pour son genre de prédilection, qu'est la nouvelle, qu'il cultivera avec une verve insatiable au ton railleur, s'inspirant de l'esprit satirique du terroir de cet éternel Djeha, caricaturant, grossissant le trait, dénonçant, s'esclaffant des travers tant du colonialisme que de sa propre société.

 

Avec L'Ane d'El Hakim, faisant pendant à l'œuvre novatrice de Tewfik El Hakim au Moyen-Orient en 1953, L'Inspirée en 1954 et Portraits humains en 1955, il signe en un court laps de temps, l'essentiel d'une œuvre qu'il laissera à la postérité.

 

Il est certain que Houhou aurait pu vivre et écrire, parmi sa fratrie, des plus belles pages de la littérature.

 

Mais que connaît la bêtise coloniale de la fraternité, de la beauté, des mots et de la liberté ?

 

Comme, plus tard, son frère Mouloud Feraoun, il fut enlevé, traîné, supplicié, fusillé séance tenante, sans autre forme de procès, ce 29 mars 1956.

 

Ses lunettes maculées de sang rouge tombèrent sur cette belle terre d'Algérie.

 

Il existe à Constantine un lycée qu'on nommait d'Aumale, où Ferdinand Braudel, l'historien de la Méditerranée, enseigna et où le Maréchal Juin, le vainqueur du fascisme, étudia.

 

Ce lycée, par-dessus l'abîme, s'appelle aujourd'hui Ahmed Rédha Houhou. Sur son fronton, flotte un drapeau vert et blanc, frappé de rouge.

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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 17:50

Parcours

 

Tu es parole ,

écharpe du vent,

et tu entraines

les pleurs des pluies ,

dans mon impuissance

à séparer les regards

 

Nos nuits ne sont plus fixées au ciel,

elles s'éparpillent ,

elles naissent au-dessus des remparts

Elles dorment dans des lampes

qui s'en vont le matin

 

S'assemblent les noeuds de nos cordes,

chemin pour les lèvres fanées,

pour l'étoile encore chaude sous la peau incertaine

 

Tout est insaississable , en gestation ,

en voyage

 

Juste un brouillard ,

à la taille des îles closes,

planté sur les pavés lointains

qui peinent à se réveiller

 

Kenzy Dib

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 20:28

haddad-benzelikha.jpg  Les articles de presse de Malek HADDAD

 

 

Malek HADDAD, le journaliste :

 

Malek Haddad, comme nous l'apprend sa biographie, fut journaliste, chef de la rubrique culturelle, auprès du quotidien régional de Constantine, An Nasr (dont nous reprenons ici l'orthographe latine consacrée par le journal lui-même) paraissant alors en langue française, qui aura succédé, le 28 septembre 1963, au titre de l'époque coloniale La Dépêche de Constantine.


 

Le journal An Nasr sera «arabisé» en 1972 et continuera de paraître, en langue arabe, jusqu'à aujourd'hui .

 

Malek Haddad exercera à An Nasr de 1965 jusqu'à 1968, il est alors un écrivain confirmé, ayant déjà publié l'essentiel de son oeuvre et collaboré à des revues réputées, à l'instar des Lettres françaises ou Confluent lancée par Paul Buttin.

 

Durant cette période «constantinoise», HADDAD publiera plusieurs articles dans les colonnes d'An Nasr, tout en en dirigeant la rubrique culturelle.


Notons, qu'il a, auparavant, signé d'autres articles dans la presse post- Indépendance, notamment dans Novembre,  Alger ce soir et   Le Peuple, comme il continuera à en signer dans Algérie-Actualité.

 

 

 

Des articles méconnus:

 

Nous relevons, ci-dessous, l'essentiel de la production journalistique de Malek HADDAD auprès de ce titre de presse, soit 85 articles dont la date de parution s'échelonne entre le 30 avril 1965 et le 29 avril 1969 (deux articles ayant paru après son départ d'An Nasr).

 

Nous notons, à l'examen des articles publiés, que hormis la célèbre série d'articles «Une clef pour Cirta», qui a fait l'objet d'une édition sous forme de plaquette et qui demeure une référence (quant à une «présentation» de la ville de Constantine), les autres écrits n'ont pas connu aussi bonne fortune, malgré l'intêret manifeste de beaucoup d'entre eux.

 

Ainsi, par exemple, le conte « Marhaba », publié en 1965 ou l'article exprimant la position de Malek HADDAD vis-à-vis d'Albert CAMUS, intitulé « Le seul respect que je dois à CAMUS », paru en 1967, ou encore celui relatif à la problématique de la littérature et du journalisme, datant de la même année, mériteraient qu'on s'y arrête, pour certainement beaucoup de profit, quant à l'étude de l'oeuvre et pour, incontestablement, le plus grand plaisir des lecteurs de cette belle et généreuse plume.

 

Ahmed BENZELIKHA

 

 

Bibliographie sélective :

 

01 - HADDAD (Malek),-«Premier mai : La lumière ! ».

In : An Nasr, 30 Avril 1965, p1.

 

02 - HADDAD (Malek),-«8 Mai 1945 : GUELMA capitale de

L’espérance »,- In : An Nasr, 9-10 Mai 1965, pp. 1-2.

 

03 - HADDAD (Malek),-« Ce pays qui est grand ... »,- In :

An Nasr, 16-17 Mai 1965, pp. 17-20.

 

04 - HADDAD (Malek),-« A chaque jour suffit sa peine ».-

In: An Nasr, 1erJuin 1965, pp. 13-16.

 

05 - HADDAD (Malek),-«L’Ecole en souvenir »,- In : An Nasr,

17 Juin 1965, p.12.

 

06 - HADDAD (Malek),-«Ballade sur trois notes »,- In,

An Nasr, 16-17 Août 1965, p. 12.

 

07 - HADDAD (Malek),-«Marhaba», - In : An Nasr,

3 Septembre 1965, p.12, (conte); ibid., Novembre 1965,p.12.

 

08 - HADDAD (Malek),-«La rentrée des espérances »,-n :

An Nasr, 1erOctobre 1965, p.12.

 

09 - HADDAD (Malek),-«La Signification d’un drapeau », - In:

An Nasr, 5 Octobre 1965, p.12.

 

10 - HADDAD (Malek),-«Le jour du siècle »,- In : An Nasr,

31 Octobre 1965, p.12 ; Repris In : Algérie-Actualité, n°2,

31 Octobre 1965, p.13.

 

11 - HADDAD (Malek),-«Le Premier novembre est un hymne à la

Vie », In : An Nasr, 1erNovembre 1965, p.12.

 

12 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta »,- In : An Nasr,

4 Janvier 1966, p.12.

 

13 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta : Constantine

Capitale d’histoire »,- In : An Nasr, 5 Janvier 1966, p.12.

 

14 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta : un duo dans la

pierre le fleuve et le rocher »,- In An Nasr, 6 Janvier 1966, p.12

 

 

15 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta : Le rocher et

son sculpteur : Genèse d’un tour de force »,- In :

An Nasr, 7 Janvier 1966, p.12.

 

16 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta : Constantine de

Toujours : Le chemin des touristes. La piscine de Sidi M’cid :

La vieille ville »,- In : An Nasr, 8 Janvier 1966, p.12.

 

17 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta, un patrimoine :

le musée»,- In :An Nasr, 9 Janvier 1966, p.12.

 

18 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta : Les ouvrages

d’art : a/ Les monuments antiques »,- In : An Nasr,

10 Janvier 1966, p.12.

 

19 - HADDAD (Malek),-« Une Clef pour Cirta : les ouvrages

d’art : b/ Les monuments arabes »,- In : An Nasr,

11 Janvier 1966, p.12.

 

20 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta : Tout autour de

la ville »,- In : An Nasr, 12 Janvier 1966, p.12.

 

21 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta : Les grands

circuits »,- In : An Nasr, 14 Janvier 1966, p.12.

 

22 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta : Ne vous

retournez pas … »,- In : An Nasr, 15 Janvier 1966, p.12.

 

23 - HADDAD (Malek),-« Cela s’appelle colonialisme !... »,

In : An Nasr, 26 Janvier 1966, p.12.

 

24 - HADDAD (Malek),-« Autant qu’un champ, de blé… ! »,-

In : An Nasr,11 Mars 1966, p.10.

 

25 - HADDAD (Malek),-« Un Intellectuel dans la cité : en

Parlant de culture avec le Docteur BENDALI »,- In :

An Nasr, 4 mars 1967, p.7.

 

26 - HADDAD (Malek),-« Au rendez-vous du pays réel »,-

In : An Nasr, 4 février 1967, p.7.

 

27 - HADDAD (Malek),-« Produire »,- In : An Nasr , 11 Février

1967, p.7.

 

28 - HADDAD (Malek),-« Le seul respect que je dois à CAMUS »,-

In : An Nasr, 18 Février 1967, p.7.

 

29 - HADDAD (Malek),-«Les Générations se continuent

vingt ans et plus »,- In : An Nasr, 25 Février 1967, p.7.

 

30 - HADDAD (Malek),-«La fin d’un mythe »,- In : An Nasr,

24 Juin 1967, p.7.

 

31 - HADDAD (Malek),-« Pour une solution du problème

palestinien, par Jacques BERQUE »,-In :An Nasr,

25 Juin 1967, p.7.

 

32 - HADDAD (Malek),-« Au fil d’un mois de Juin »,- In :

An Nasr, 1erJuillet 1967, p.7.

 

33 - HADDAD (Malek),-«La Repossession de Juillet »,-

In: An Nasr, 8 Juillet 1967, p.7.

 

34 - HADDAD (Malek),-«Au fil des lettres »,- In :

An Nasr, 15 Juillet 1967,p.7.

 

35 - HADDAD (Malek),-«Présence algérienne »,- In :

An Nasr, 23 Juillet 1967, p.7.

 

36 - HADDAD (Malek),-« A la recherche d’un temps perdu »,-

In: An Nasr, 30 Juillet 1967, p.6.

 

37 - HADDAD (Malek),-«Le pays du sourire »,- In : An Nasr,

6 Août 1967, p.6.

 

38 - HADDAD (Malek),-«Alger au mois d’Août »,- In :

An Nasr, 12 Août 1967, p.7.

 

39 - HADDAD (Malek),-«Un esprit purement algérien »,-

In: An Nasr, 19 Août 1967, p.7.

 

40 - HADDAD (Malek),-«La mémoire du peuple »,- In :

An Nasr, 26 Août 1967, p.7.

 

41 - HADDAD (Malek),-«Le plus beau métier du monde »,-

In: An Nasr, 2 Septembre 1967, p.7.

 

42 - HADDAD (Malek),-«Le chemin de l’école »,- In :

An Nasr, 9 Septembre 1967, p.7.

 

43 - HADDAD (Malek),-«Plaidoyer pour la radio »,- In :

An Nasr, 16 Septembre 1967, p.7.

 

44 - HADDAD (Malek),-« L’Ecole et le puits »,- In :

An Nasr, 23 Septembre 1967, p.7.

 

45 - HADDAD (Malek),-«Les yeux et la mémoire »,- In :

An Nasr, 18 Mars 1967, p.7.

 

46 - HADDAD (Malek),-«Trois syllabe de trop »,- In :

An Nasr, 25 Mars 1967, p.7.

 

47 - HADDAD (Malek),-«De l’Ecrivain et du lecteur :

citoyen et sujet »,- In : An Nasr, 1 Avril 1967, p.7.

 

48 - HADDAD (Malek),-«En marge de la littérature et du

roman : littérature et journalisme » ,- In : An Nasr,

8 Avril 1967, p.7.

 

49 - HADDAD (Malek),-«Une ville et son âme »,- In :

An Nasr, 15 Avril 1967, p.7.

 

50 - HADDAD (Malek),-«En marge de la littérature et du

roman : littérature et activités paralittéraires : les

techniques audio-visuelles »,- In An Nasr, 22 Avril 1967, p.7.

 

51 - HADDAD (Malek),-«Un Grand absent: BEN-BADIS »,-

In : An Nasr, 29 Avril 1967, p.7.

 

52 - HADDAD (Malek),-«Des Instituteurs par milliers »,-

In: An Nasr, 6 Mai 1967, p.7.

 

53 - HADDAD (Malek),-« Rencontre avec Mohamed El Aid Al Khalifa »,-

In: An Nasr, 13 Mai 1967, p.7.

 

54 - HADDAD (Malek),-«Pour des vacances en Algérie »,-

In: An Nasr, 27 Mai 1967, p.7.

 

55 - HADDAD (Malek),-«Culture et pages culturelles »,-

In: An Nasr, 3 Juin 1967, p.7.

 

56 - HADDAD (Malek),-«Fixer l’éternité », - In: An Nasr,

 

30 Septembre 1967, p.7.

 

57 - HADDAD (Malek),-«Son et lumière »,- In : An Nasr,

7 Octobre 1967, p.7.

 

58 - HADDAD (Malek),-«Semer la culture »,- In : An Nasr,

14 Octobre 1967, p.7.

 

59 - HADDAD (Malek),-«La Gloire du libraire »,- In :

An Nasr, 21 Octobre 1967, p.7.

 

60 - HADDAD (Malek),-«Présence de Novembre »,- In :

An Nasr, 28 Octobre 1967, p.7.

 

61 - HADDAD (Malek),-«Le Sahara vivant »,- In : An Nasr,

11 Novembre 1967, p.7.

 

62 - HADDAD (Malek),-«Sliman Aissa, un poète brûlant”,-

In: An Nasr, 25 Novembre 1967, p.7.

 

63 - HADDAD (Malek),-« La Culture, affaire du monde »,-

In : An Nasr, 2 Décembre 1967, p.7.

 

64 - HADDAD (Malek),-«Présence et mission du cinéma

algérien »,- In : An Nasr, 9 Décembre 1967, p.7.

 

65 - HADDAD (Malek),-«A propos de culture et de loisirs »,-

In : An Nasr, 16 Décembre 1967, p.7.

 

66 - HADDAD (Malek),-«Culture et niveau culturel »,- In :

An Nasr, 23 Décembre 1967, p.7.

 

67 - HADDAD (Malek),-«Ecole primaire et culture »,- In :

An Nasr, 30 Décembre 1967, p.7.

 

68 - HADDAD (Malek),-«La Repossession d’une pensée »,-

In : An Nasr, 6 Janvier 1968, p.7.

 

69 - HADDAD (Malek),-«Culture et mieux être »,- In :

An Nasr, 13 Janvier 1968, p.7.

 

70 - HADDAD (Malek),-«Le Racisme, cette occasion perdue »,-

In : An Nasr, 20 Janvier 1968, p.7.

 

71 - HADDAD (Malek),-«Le rôle de la culture arabe »,-

In : An Nasr, 27 Janvier 1968, p.7.

 

72 - HADDAD (Malek),-«Culture Nationale et décentralisation »,-

In : An Nasr, 3 Février 1968, p.7.

 

73 - HADDAD (Malek),-«Une Semaine Culturelle nationale à

Constantine »,- In : An Nasr, 6 Février 1968, p.7.

 

74 - HADDAD (Malek),-«Le Pays profond »,- In : An Nasr,

17 Février 1968, p.7.

 

75 - HADDAD (Malek),-«Le Retour des cigognes »,- In :

An Nasr, 24 Février 1968, p.7.

 

76 - HADDAD (Malek),-«Pouvoir et sortilège de l’image »,-

In: An Nasr, 2 Mars 1968, p.7.

 

77 - HADDAD (Malek),-«Tourisme et culture »,- In : An Nasr,

9 Mars 1968, p.7.

 

78 - HADDAD (Malek),-«La Culture, problème national »,-

In: An Nasr, 16 Mars 1968, p.7.

 

79 - HADDAD (Malek),-«La Culture à l’ordre du jour » »,-

In: An Nasr, 23 Mars 1968, p.7.

 

80 - HADDAD (Malek),-«Une Clef pour Cirta »,- In :

An Nasr, 5 Avril 1968, p.7.

 

81 - HADDAD (Malek),-«Au rendez-vous de la pensée

algérienne «,- In : An Nasr, 13 Avril 1968, P.7.

 

82 - HADDAD (Malek),-«La Force du souvenir »,- In :

An Nasr, 4 Mai 1968, p.7.

 

83 - HADDAD (Malek),-«A propos de la culture et importation :

en guise d’introduction »,- In : An Nasr, 29 Mars 1968, p.7.

 

84 - HADDAD (Malek),-«Vérité en deçà, erreur au-delà »,-

In: An Nasr, 5 Avril 1969, p.7.

 

85 - HADDAD (Malek),-«Sur son périple en Afrique Occidentale »,-

In : An Nasr, 27 Avril 1969, p.7 ; Repris In : La République, 29 Avril 1969.

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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 21:21

Qantrat-el-sbitar-Photo027-benzelikha



 

Quel couple ! Quelle silhouette au soleil couchant sur le mont Chettaba !

Constantine et Haddad. L'exaltation faite patrie et le mot fait juste.

Juste homme. Aimante amante.

 

A portée de coeur, au quartier des Castors, sur la colline, main sur la ville, l'ombre d'un archange veille, c'est Malek et c'est Jérusalem.

 

Dans la lumière de mon pays, se découvre un roman ou un poème, le corps est beau et pudique, mais le regard est nu : on y voit l'âme, celle de l'homme.


La ville le retient, elle a le plaisir de ses mots.

 

Les mots, mon Dieu ! L'amour vrai, pour les adorateurs d'un "vieux mystère".

Des mots tressés au chant du muezzin, puis à celui de l'oiseau du paradis.

Des mots forgés au feu d'un brulant été. Des mots caressés, en la longue étreinte d'une courte et neigeuse nuit d'hiver.

 

Mais, avant tout, des hommes : simples, droits et bons, jamais avides ou petits et médiocres. Puis des idées : belles, comme les idéaux. Haddad était de cette trempe.

 

Malek fut. L'oeuvre est.

 

A Constantine, je suis encore. Prenez-moi aux mots !

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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 20:10

quotidien1-copie-1

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 21:44

Art-amouchi-2.jpg

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