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5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 19:26

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3 août 2010 2 03 /08 /août /2010 21:18

Constantine est reconnue, de par le monde, comme un des hauts lieux du tourisme, en termes de sites et de dépaysement. Cet aspect est aujourd’hui perdu de vue, faute d’infrastructures, mais aussi du fait de l’inconséquence des hommes.

Constantine était pourtant appréciée, tant par les gens de passage que par ses habitants. C’était un lieu de villégiature, où tant de choses, tant chez les hommes que dans la nature faisaient qu’on s’y attachait.


Gens de savoir, artistes, musiciens et poètes, habiles artisans, honorables négociants, figures épicuriennes, hautes en couleurs, courageuses et généreuses personnalités, fiers serviteurs de Dieu et grands amoureux de la vie, faisaient de cette ville, alors à l’échelle de ses habitants, un endroit privilégié.


Privilégiée, Constantine l’était aussi, par son site grandiose, où roche, eau et verdure se marient en une rare harmonie, pour faire de la ville et de ses environs, un lieu enchanteur, dont la félicité fut maintes fois chantée, en musique « Ksemtini ». Cette belle musique, dont le raffinement, même en allegro, ne s’est jamais démenti, démontrant la virile douceur des mœurs constantinoises. Musique dont les fluides sonorités, ne manquent jamais d’évoquer, outre le rossignol, le murmure des eaux. Constantine tirait sa vitalité de ses hommes et de son eau.


Car, on ne le souligne pas assez, l’eau était partout, dans les fontaines publiques de la ville et en d’innombrables endroits connus pour leur beauté.


On citera les bassins « Rémès », au fond des gorges, où par la grâce d’une source généreuse, l’eau coulait à flots, pour le plus grand bonheur des ébats des petits et des bains ou baignades des plus âgés. On pouvait accéder à ces lieux de joie et de détente, grâce au fameux Chemin des touristes, miraculeuse corniche pédestre, qui serpentait à flanc des parois vertigineuses du ravin, offrant au visiteur des sensations uniques au monde.


On citera aussi Sidi M’cid, rare rendez-vous de l’exubérance de la nature, de la dextérité des hommes et de l’émotion d’un dévotion au-delà des croyances des uns et des autres, animistes, juives et musulmanes.


Sidi M'cid! Site féerique s’il en est, appréciable en toutes saisons, grâce à la source d’eau chaude, dont on ne sait aujourd’hui si elle s’est tarit ou a vu son cours souterrain détourné, à moins, comme me le confiait sérieusement un vieux d’El Ghaba (nom donné aux environs du site), qu’elle ne soit "fâchée" contre nous.CNE.jpg Cette source alimentait trois piscines, la « P’tite », avec sa pittoresque cascade et son rocher creux, le « Primo » avec sa forme irrégulière et ses abords ombragés dallés de brique, où il faisait bon s’allonger, à même le sol, en été et l’« Olympique » vaste bassin de compétition, avec ses plots, son plongeoir et …ses anneaux olympiques stylisés.


Les piscines et la table réputée du bel établissement que fut le Palmarium (à l’instar de celle du Cirta, du Transat et de l’Aéroport), dont les terrasses donnant directement sur les bassins, furent longtemps, avec le Casino municipal (qui aura vu la prédiction de son rasage, connue à Constantine, effectivement se réaliser), synonymes de joie de vivre constantinoise, une joie de vivre naturelle, une propension à la joie et au divertissement.


Citons aussi la grande voûte souterraine, sous le pont d’El Kantara, lorsque le fleuve disparaît au regard, merveilleuse grotte, où le Rhummel forme un véritable lac sous le roc, où stalagmites et stalactites forment d’étranges silhouettes de piliers gothiques, où fontaines et cascades finissent par charmer, après les yeux, l’oreille.


L’oreille qui entendra plus bas, en aval, le bruit des chutes de Sidi M’cid, que surplombe un pont en pierre taillée, d’où on peut deviner, au loin, le mausolée du légendaire Sidi M’hamed el Ghorab (qui mis dans un sac et jeté dans l'Abime depuis le sinistre Kef chkara s'est transformé en corbeau) et ses gueltas, lieux de cérémonies maraboutiques, où l’eau et les tortues, sont au centre de spectaculaires rites féminins propres à la région.


Que d’eau, aussi, sur les hauteurs, à Djebel el Ouahch, où des travaux d’aménagement et de drainage au début du siècle dernier, ont permis l’apparition de charmants lacs artificiels, au milieu de bois où il a fait bon se promener pour des générations de Constantinois.


Comme il fera toujours bon se promener le soir, sur le Boulevard de l’Abîme, cherchant la mer, au delà du mont Chettaba et découvrant, finalement, les plus beaux couchers de soleil, ici, à Constantine.

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3 août 2010 2 03 /08 /août /2010 18:28

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 19:49

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1 août 2010 7 01 /08 /août /2010 20:25

Un jour de grand froid, on vit un musulman d'amour et de générosité, préférer grelotter dehors que s'abriter dans sa maison. Aux gens qui s'interrogeaient devant son étrange comportement, il répondit qu'étant trop démuni pour offrir quelque bien aux pauvres, il partageait avec eux les affres du froid.

 Ainsi, le plus démuni d'entre nous, de Saint Martin à Hassen el Basri, aura toujours quelque chose à offrir aux autres.

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1 août 2010 7 01 /08 /août /2010 19:15

A Ain-Régada, un village sur la route de Guelma dans l'Est algérien, on se souvient encore de ce garde-champêtre gardien de l'ordre colonial, lequel surprenant un pauvre hère, parmi les enfants du pays, en train de ramasser des feuilles mortes, l'aura fouetté jusqu'au sang sur la grand-place.

Selon le garde-champêtre : qui "vole" les feuilles, "volera" les branches ..., puis l'arbre, puis toute la forêt ...  .

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1 août 2010 7 01 /08 /août /2010 18:44

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27 juillet 2010 2 27 /07 /juillet /2010 19:58

Il est des lieux, comme les personnes, qui vous marquent pour toute votre vie. Vous les emportez avec vous, ou mieux: ils font partie de vous, indissociablement. Il en est ainsi de l'école Arago. C'est à Constantine, à Sidi Bouannaba, au dessus d'El Batha, à coté d'El Sayda, à flanc de la Grande mosquée le dominant de son minaret au dôme vert, que s'étend "Arago", toponyme consacré, qui n'a pas lieu d'autre précision.Construit à la fin du XIXème siècle l'établissement, porte la marque de son époque, austère, quelque peu solennelle, "Jules Ferryenne". Grande cour brique, en petites dalles longilignes, sur laquelle donnent de grands étages, s'étalant en larges couloirs balcons, portés par des collonnades, s'arc-boutant en arcades de voute au rez-de-chaussée. Salles de classes lumineuses, aux fenetres immenses, où l'hiver venu, le poêle crépite et la cave..., où s'entrepose le bois coupé pour le chauffage, mais où se retrouvent aussi, les "fortes têtes", expiant leur fautes parmi, dit-on, les souris.Les plafonds hauts, les cadres de portes étirés,le fer ouvragé, le bois et la fonte, sans oublier les encriers émaillés et la craie omniprésente. Ces matières de l'univers Arago, feront l'étrangeté de celui d'aujourd'hui. Arago est si loin, avec sa fontaine en coin, au débit si fort, sa cantine et le gros pain de campagne et puis, bien sur, La classe.

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27 juillet 2010 2 27 /07 /juillet /2010 19:13

CONSTANTINE, CES PONTS LA  !

Par Ahmed BENZELIKHA

http://www.constantine.free.fr/LaVille/lesponts.htm

Surpris de me retrouver ? M'auriez vous fait partir au diable vauvert ? Pourtant, depuis le temps que vous me connaissez, vous devriez être au fait de mes habitudes. 

Je prends toujours des vacances en été, pour revenir sitôt les premières pluies de l'automne. Je vais même vous surprendre en vous apprenant qu'autrefois, je ne prenais jamais de repos. Je m'ébaudissais alors de voir s'ébattre les embarcations ici même. Je vous devine incrédules et cela m'offense. Si vous ne me croyez pas, peut-être ajouteriez-vous foi, à ce qu'a relaté un des vôtres, un certain El Bekri. Mais, passons, à mon age on sait être indulgent à l'égard de la jeunesse et de ses travers.  

Si je comprends bien, vous souhaiteriez que je vous parle des ponts de celle-la, là haut, Constantine. Ah ! Ces ponts ! Ne vous en aurait-on pas assez rebattus les oreilles ? « Ponts-ci, pont là », les ciceroni n'ont que cela à la bouche !

Décidément je ne comprendrais jamais les hommes, qui au lieu de s'attacher à la pérennité, ne s'occupent que de l'éphémère. Car qu'est ce qu'un pont ? Sinon un précaire passage, par-dessus une contrariété ; Es qu'est ce que cela devant le temps ?  

Ce dernier ne m'est point inconnu, pour l'avoir pour compagnon depuis, excusez du barbarisme, le néo-pléistocène et ce rien qu'en ces lieux, qu'il m'est fort aise de voir vous plaire. Ne croyez surtout pas que je sois jaloux, disposerais-je de raisons suffisantes, pour l'être, que je ne le pourrais point. J'étais ici avant les ponts, je serai encore là après eux. Ils peuvent bien aujourd'hui me dominer du haut de leur superbe, oublient-ils que c'est grâce à moi, qu'occasion leur est offerte d'exister ? L'abîme de leur contingence, j'en suis le maître d'ouvre !  

Enfin, à votre guise, qu'il ne soit pas dit qu'on essuie rebuffade de mon fait. Mais vous me le permettrez et pour ne point nous égarer, je ne m'en tiendrais qu'aux ponts contemporains.  

Il y a d'abord l'aîné, le bourgeois, bien établi et imbu de son importance, le pont d'El-Kantara, vous me passerez ce bilingue pléonasme, emprunté à vos usages idiomatiques. Ce pont, en vertu du droit d'aînesse a disposé de l'héritage de ses deux aïeux, le romain et le turc. Je sais que tout cela fait très « cosmopolitain », comme on disait avant, mais que voulez-vous, on ne choisit pas ses ancêtres, pas plus que ses ponts d'ailleurs. Son aïeul romain, devait être né aux premiers siècles de l'ère chrétienne. Quant au turc, il vécut entre 1792 (voyant le jour sous Salah-Bey, celui-là même que pleure la belle chanson) et 1857, à cette date il périt, écrasé de chagrin et par un régiment d'infanterie d'une armée arrivée dans la contrée vers 1837.  

Ici, laissez-moi vous confier, en farcissure de mon propos, pour emprunter aux Pensées de Montaigne, que si j'ai pu connaître beaucoup de gens, depuis les temps immémoriaux ou, si vous préférez, depuis le néolithique, je ne me suis attaché qu'aux enfants du pays et, dès lors, qu'ils ont adopté le croissant comme étendard, dusse t-il être le Pendon de Las Navas, il a été mien aussi.  

C'est vous dire, que je n'ai pas du tout apprécié ces soldats venus du Nord, me toisant, me trouvant trop modeste à leur goût, ils osaient même des comparaison à mon désavantage !  

Mais revenons au pont d'El-Kantara, long de 127,5 mètres , large de 13, s'élevant à 125, il est né en 1863. Je ne l'aime pas ce pont, d'abord il est trop arrogant, ensuite il me fait ombrage, juste au moment où je me prépare à rencontrer les voûtes de travertin, que vous voyez là, des amies de longue date.

Vous me concéderez, qu'en la circonstance, j'ai besoin de la lumière, pour être à mon avantage et non d'un voyeur. Oui, car derrière la respectabilité à barbichette de ce pont d'El-Kantara (grasseyement prononcé), se cachent les moeurs les plus dissolues. Le gredin, comme tous ceux de son espèce, adore s'encanailler. Allez, allez donc voir, côté gare, toutes ces bouteilles vides de mauvais vin. Si ce n'est pas malheureux, ça se dit noble - en fait, il acheté son titre sous le second empire - et ça se saoule à la piquette.  

Ce n'est point comme Sidi-Rached, un pont solide, sain, qui ne rechigne nullement à la tache, plein de gouaille, adopté par le populaire, mascotte du vieux club sportif de la cité, le C.S.C. Le pont de Sidi-Rached est né en 1912, c'est un viaduc impressionnant, qui compte vingt-sept arches, dont l'une de 70 mètres , enjambe allègrement le vide. Pour une longueur de 447 mètres , il est large de 12. Il a ses racines plantées dans la vieille ville, près du sépulcre de son saint patron Sidi-Rached, dont a il toujours mérité du nom et de la bénédiction. Ce n'est pas comme ce «  m'tourni  » d'El-Kantara, qui aurait préféré, j'en pouffe, s'appeler Napoléon III.  

Et puis. il y a Dieudonné, fin et racé. Le pont suspendu. Beau et élégant, c'est un séducteur né. Depuis 1912, il éblouit tous ceux qui l'approchent. Sa silhouette avantageuse se profile idéalement sur l'azur, tel « un prince des nuées », qui jamais ne toucha sol. On ne lui reproche qu'une expression  malheureuse : « je ne me permettrai jamais de frayer avec la populace », dont il aura fait une règle de vie. Mais, que voulez-vous, on ne lui en tient pas rigueur, nous autres roturiers, sommes toujours fascinés par l'éclat de l'aristocratie. Et puis.il est si haut à 175 mètres ! Quand on traverse ses 160 mètres, on ne le fait que respectueusement, craintivement, subrepticement.tant son port altier en impose.  

Enfin, il y a le plus jeune, né en 1925, appelé communément pont de l'Ascenseur, qui n'a jamais voulu grandir, jamais voulu être comme les autres. Fragile et marginal, on ne l'emprunt qu'à pied. Poète, il est d'un romantisme exacerbé. Passionné, il est parfois violent. Il faut l'avoir vu trembler comme feuille les jours de désespoir, quand le vent hurle à la mort. Tour à tour joyeux ou mélancolique, il est imprévisible. . On ne m'enlèvera pas de la tête que ce petiot est amoureux ! Filiforme, il suspend ses 125 mètres sur une hauteur de 116.  

Voilà donc les ponts de Constantine, auxquels il vous faudrait adjoindre le petit pont du gué des troupeaux, dont je n'aime pas ( vade retro   ! ) le nom français, et celui des Chutes, où comme son nom l'indique, je chute. J'en profite pour rendre hommage à celle de Camus, bien que je ne sois ni juge ni pénitent et à celui-là d'un plat pays qui n'est pas le mien, bien qu'on fasse tous celui là qu'on attend quelque part, mais qu'on n'attend pas.  

Mes éparses impressions, auront répondu, un tant soit peu, j'ose l'espère, à votre attente. Vous daignerez m'excuser maintenant, car à l'approche de l'hiver, moult taches m'attendent. Je dois vous quitter et croyez que tout le plaisir a été pour moi. N'oubliez surtout pas de témoigner de ma bonne santé, le vieux RHUMMEL n'est pas prêt de devenir gâteux !

 

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27 juillet 2010 2 27 /07 /juillet /2010 18:08

(...) - Qui était Abdelhamid Bensegueni ? C’était un grand monsieur du football constantinois des années 40 et 50, un des rares à avoir été joueur, entraîneur-joueur ou entraîneur, avec énormément de réussite, au sein du MOC ou du CSC, sans pour autant avoir perdu l’estime des supporters, des dirigeants ou des joueurs de l’un ou l’autre club, chez lesquels pourtant l’amour aveugle des couleurs exclut tout partage. C’était l’époque  où ces équipes comprenaient, dans leurs effectifs, beaucoup de membres de mêmes familles, ces associations sportives étant elles mêmes considérées comme de grandes familles. Rien que dans la vielle médina, il y avait les frères Boumalit, les frères Bencheikh, les frères Bensegueni, les frères Benbakir, ou encore les frères Benlatrèche du «Faubourg » et tant d’autres.

Il est malheureux, qu’un homme aussi connu à l’époque et aussi estimé à Constantine, notamment des les milieux sportifs, n’ait pas reçu l’hommage public qu’il méritait à sa mort, ne serait-ce que de la part des deux vieux clubs de la ville.


- Qui était El Ghanjou ? C’était une figure pittoresque de Constantine, mais dans un autre domaine que le sport : El rajla. Enfant terrible du quartier de Sidi Djliss, bagarreur en diable dans sa jeunesse (il fallait l’être à cette époque), il ne craignait personne. C’était pourtant un homme d’apparence chétive, qui avait de toutes petites mains, sur lesquelles d’ailleurs il était plaisanté par ses seuls intimes. Respect oblige ! Mais il avait un cœur gros comme ça !

Il répétait souvent, malicieusement, qu’il importait peu d’avoir de gros bras, si on n’était pas prêt, avant une bagarre, à « avoir un pied à l’hôpital et l’autre au cimetière ». Evidemment, il exagérait un tantinet car il n’y avait pas plus brave. Lui aussi s’est éteint dans l’anonymat.


        - Qui était Belhadj Mostefa Abdeslam ? C'était un merveilleux nageur, auxquels beaucoup d’experts avaient prédi au moins un record du monde en crawl. Ce fut le seul nageur arabe, à l’époque, à avoir flirté d’aussi près avec la minute aux 100 mètres crawl. Mais il descendit souvent bien en dessous de la minute à l’entraînement. Il était pétri de qualités, mais il n’a jamais pu bénéficier des conditions de préparation exceptionnelles réservées aux seuls compétiteurs français. Même le prestigieux champion Alex Jany le craignait, dans les années 50. Si Abdeslam continuera à s’entraîner, pour son plaisir, dans la piscine de Sidi M’cid, bien des années après l’indépendance. Le silence planera encore sur la mort de ce grand champion.


        - Qui était Badiguel ? Moins connu hors de Constantine, mais tout aussi populaire parmi ceux de cette génération et bien entendu dans la cité, fut « Badiguel », beaucoup ne savent pas si c’est son vrai nom ou s’il s’agit d’un surnom. Sociétaire d’un des vieux clubs , lui aussi, c’était un excellent footballeur.

Il avait cette qualité particulière de savoir tirer merveilleusement bien les corners et parfois même il parvenait à loger le balle directement dans les filets de l’adversaire , lorsque celui-ci n’atterrissait pas dans les pieds de son comparse « Baso », aux reprises invraisemblables.


             - Qui étaient Baso et Briki ? C'étaient deux autres « Enfants de Sidi Rached », Baso était très populaire et  ses facéties arrivaient à dérider même Tahar « Briki », cet incroyable bricoleur de génie lui aussi prématurément disparu, qui parvenait à réparer « n’importe quoi » dans sa minuscule et pitorresque boutique des vieux quartiers de Constantine. (...).

 

- Je voudrais ici rendre hommage à Monsieur Sadek Guellal, qui nous a récemment quitté, Allah yarhmou, qui n'a eu de cesse, à chaque fois qu'il pouvait apprendre la disparition d'une des figures de Constantine, lui qui était établi à Alger, d'en saluer la mémoire, par des condoléances dans la presse. Paix à son âme. 

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